9 février 2005
De la différence entre le psychosomatique et le psychologique
Aujourd'hui, ce n'est pas réellement une définition mais plutôt une
opposition que je vais essayer de vous expliquer. Dans un combat que
seul les psychiatres comprennent complètement, il y a à ma droite le
psychologique et à ma gauche, le psychosomatique. La différence à l'air
simple. Bien qu'il finissent tous les deux par "ique", ils se ressemble
pas trop. Premièrement, les présentations complète dixit le Petit
Robert.
"Psychologique : 1. Relatif à la psychologie, aux faits psychique. 2. Qui agit sur le psychisme." Comme le Petit Robert aime bien être manipulé, encore une fois, il n'est pas clair. Je vais donc reformuler la première définition. Psychologique est un adjectif qualifiant tous phénomène ressenti intellectuellement par une personne, que ce soit une émotion, un souvenir, une pensée. D'après cette première définition, le médecin d'hier nie tous les symptômes qu'elle n'a d'ailleur pas observée puisqu'elle ne les a pas chercher. La deuxième définition m'interresse beaucoups plus. "Qui agit sur le psychisme." Mais alors, toute maladie est psychologique. Réflechissons un peu, la plupart des maladies s'accompagnent de douleurs. Il n'a échapper a aucun de vous que la douleur endort l'esprit mais qu'elle empêche le repos physique. Quand on a mal, il est plus difficile de se concentrer, le caractère se modifie et l'agressivité augmente. La maladie agit bien sur le psychisme qui est l'ensemble des pensées, souvenirs et émotion d'une personne. Même en l'absence de douleurs, le diagnostique d'une maladie influe sur la pensée du malade. Il y a un "avant" et un "après" la maladie. Qui peut prétendre être malde et que ça n'ai aucune influence sur sa vie émotionnelle. Quel joli paradoxe que le Petit Robert m'offre. En traduisant avec cette définition, la question du médecin est "Est ce neurologique? Cela influt-il sur sa vie?" La quetion semble tellement incongrue, qu'elle ne devrait même pas être poser. Et la tout le message s'en retrouve transformer. Elle ne nie plus les symptômes, au contraire, elle les exacerbe en les mettant au centre de sa préccupation, en leur donnant un retentissement qu'ils ont bien sur, mais que la médecine traditionnelle et prétendument objective préfère nier. Ce n'est pas l'histoire du serpent qui se mord la queue, mais elle y ressemble. Elle est même pire. En voulant cacher la misère, on l'a mise sur le trône du rauyaume, c'est incongrue et c'est une belle revanche de la sémantique sur les incapicuités profonde d'un médecin.
"Psychosomatique : 1. Qui concerne à la fois le corps et l'esprit. 2. Se dit de troubles organiques liés principalement à des facteurs d'ordre psychique (conflit, etc) en l'absence de tous symptômes de maladie mentale." Encore une fois, la deuxième définition m'interresse plus. Ce qui est fondamentale, c'est l'affirmation de l'existence de troubles organiques. Une maladie psychosomatique n'est pas moins grave ou plus grave qu'une maladie purement physique. Elle est juste plus complexe. La maladie existe et peut être traité par des médicaments, mais si rien n'est fait aux niveaux psychique, elle reviendra encore et encore. Juste un petit exemple pour vous démontrer qu'une maladie psychosomatique n'est pas si éloigné de vous que ce que vous le pensé. Vous avez déjà eu du mal à avaler? La gorge enflammé, les ganglions qui doublent de volume? Mal à la tête, la voix enrouée? La plupart d'entre vous ont associé l'ensemble de ces symptômes à une maladie bien connue : l'angine. Mais ce que vous ignorez certainement c'est que plus de 97% des angines sont psychosomatiques et c'est pour cela que "Les antibiotiques, c'est pas automatique.". Quand vous avez les boules, au sens imagé, c'est que vous avez du mal à avalaer quelques chsoe mais que vous ne pouvez pas en parler. Eh bien physiquement c'est pareil. Bien sur, vous pouvez faire partie des 3% sans composantes psychologique, vous dire que vous avez oubliez votre écharpe ce matin et que c'est pour cela que vous avez attraper une angine ou que vous avez couru après le bus. Mais le fait reste la. Les malaides psychosomatique concerne tous le monde et n'en nécessite pas moins un traitement. C'est pas la peine d'essayer de faire passer une angine en vous persaudant que "oui, j'ai un problème de communication avec telle personne et je vais le régler.", ca marche pas. Je peux vous dire que j'ai essayer et que du coups, je me suis retrouvé avec une infection ORL d'enfer. Alors ne minimiser pas votre angne sous ce prétexte parce que mieux vaut prévenir que guérir.
Pour en revenir au sujet initial, la différence entre le psychologique et le psychosomatique dans leur acception commune est que dans un cas, vous êtes un menteur et vous n'avez pas vraiment mal. Juste un vague malaise ou une angoisse. Tandis que dans l'autre, vous êtes vraiment malade et vous pouvez vraiment en mourrir mais un traitement physique seul ne peut résoudre la maladie. Donc soit votre médecin vous traite de menteur, soit il vous dit que c'est pas que physique. Les deux sont difficiles à entendre, je vous l'accorde. Mais je crois que l'un est plus facilement avalable que l'autre. Enfin rassuré vous, je n'ai pas d'angine, les psychotiques somatise assez peu contrairement aux névrotiques. Encore un aventage que j'ai sur le commun des mortels.
A au fait, si votre médecin vous dit que c'est "certainement psychologique." Demandez lui de préciser sa pensée sans vous vexer immédiatement. Plus de quatre vingt dix pour cent des généralistes ne saisissent pas la différence entre ces deux mots. C'est trop abstrait pour eux. C'est comme indépendance et autonomie, ça ne concerne que les sous-fifre, les psychiatres et les ergos, alors ils vont quand même pas se pencher sur leur dictionnaire pour les beaux yeux de gens qui ne savent même pas ce qu'est la médecine.
Pour dériger à la régle, je ne vous souhaite pas une nuit angoissé. Je sens que le clavier va encore chauffé alors à plus tard. Et arréter de vous ronger les ongles, qu'est ce que vous allez faire demain? Vous mangez les doigts?
"Psychologique : 1. Relatif à la psychologie, aux faits psychique. 2. Qui agit sur le psychisme." Comme le Petit Robert aime bien être manipulé, encore une fois, il n'est pas clair. Je vais donc reformuler la première définition. Psychologique est un adjectif qualifiant tous phénomène ressenti intellectuellement par une personne, que ce soit une émotion, un souvenir, une pensée. D'après cette première définition, le médecin d'hier nie tous les symptômes qu'elle n'a d'ailleur pas observée puisqu'elle ne les a pas chercher. La deuxième définition m'interresse beaucoups plus. "Qui agit sur le psychisme." Mais alors, toute maladie est psychologique. Réflechissons un peu, la plupart des maladies s'accompagnent de douleurs. Il n'a échapper a aucun de vous que la douleur endort l'esprit mais qu'elle empêche le repos physique. Quand on a mal, il est plus difficile de se concentrer, le caractère se modifie et l'agressivité augmente. La maladie agit bien sur le psychisme qui est l'ensemble des pensées, souvenirs et émotion d'une personne. Même en l'absence de douleurs, le diagnostique d'une maladie influe sur la pensée du malade. Il y a un "avant" et un "après" la maladie. Qui peut prétendre être malde et que ça n'ai aucune influence sur sa vie émotionnelle. Quel joli paradoxe que le Petit Robert m'offre. En traduisant avec cette définition, la question du médecin est "Est ce neurologique? Cela influt-il sur sa vie?" La quetion semble tellement incongrue, qu'elle ne devrait même pas être poser. Et la tout le message s'en retrouve transformer. Elle ne nie plus les symptômes, au contraire, elle les exacerbe en les mettant au centre de sa préccupation, en leur donnant un retentissement qu'ils ont bien sur, mais que la médecine traditionnelle et prétendument objective préfère nier. Ce n'est pas l'histoire du serpent qui se mord la queue, mais elle y ressemble. Elle est même pire. En voulant cacher la misère, on l'a mise sur le trône du rauyaume, c'est incongrue et c'est une belle revanche de la sémantique sur les incapicuités profonde d'un médecin.
"Psychosomatique : 1. Qui concerne à la fois le corps et l'esprit. 2. Se dit de troubles organiques liés principalement à des facteurs d'ordre psychique (conflit, etc) en l'absence de tous symptômes de maladie mentale." Encore une fois, la deuxième définition m'interresse plus. Ce qui est fondamentale, c'est l'affirmation de l'existence de troubles organiques. Une maladie psychosomatique n'est pas moins grave ou plus grave qu'une maladie purement physique. Elle est juste plus complexe. La maladie existe et peut être traité par des médicaments, mais si rien n'est fait aux niveaux psychique, elle reviendra encore et encore. Juste un petit exemple pour vous démontrer qu'une maladie psychosomatique n'est pas si éloigné de vous que ce que vous le pensé. Vous avez déjà eu du mal à avaler? La gorge enflammé, les ganglions qui doublent de volume? Mal à la tête, la voix enrouée? La plupart d'entre vous ont associé l'ensemble de ces symptômes à une maladie bien connue : l'angine. Mais ce que vous ignorez certainement c'est que plus de 97% des angines sont psychosomatiques et c'est pour cela que "Les antibiotiques, c'est pas automatique.". Quand vous avez les boules, au sens imagé, c'est que vous avez du mal à avalaer quelques chsoe mais que vous ne pouvez pas en parler. Eh bien physiquement c'est pareil. Bien sur, vous pouvez faire partie des 3% sans composantes psychologique, vous dire que vous avez oubliez votre écharpe ce matin et que c'est pour cela que vous avez attraper une angine ou que vous avez couru après le bus. Mais le fait reste la. Les malaides psychosomatique concerne tous le monde et n'en nécessite pas moins un traitement. C'est pas la peine d'essayer de faire passer une angine en vous persaudant que "oui, j'ai un problème de communication avec telle personne et je vais le régler.", ca marche pas. Je peux vous dire que j'ai essayer et que du coups, je me suis retrouvé avec une infection ORL d'enfer. Alors ne minimiser pas votre angne sous ce prétexte parce que mieux vaut prévenir que guérir.
Pour en revenir au sujet initial, la différence entre le psychologique et le psychosomatique dans leur acception commune est que dans un cas, vous êtes un menteur et vous n'avez pas vraiment mal. Juste un vague malaise ou une angoisse. Tandis que dans l'autre, vous êtes vraiment malade et vous pouvez vraiment en mourrir mais un traitement physique seul ne peut résoudre la maladie. Donc soit votre médecin vous traite de menteur, soit il vous dit que c'est pas que physique. Les deux sont difficiles à entendre, je vous l'accorde. Mais je crois que l'un est plus facilement avalable que l'autre. Enfin rassuré vous, je n'ai pas d'angine, les psychotiques somatise assez peu contrairement aux névrotiques. Encore un aventage que j'ai sur le commun des mortels.
A au fait, si votre médecin vous dit que c'est "certainement psychologique." Demandez lui de préciser sa pensée sans vous vexer immédiatement. Plus de quatre vingt dix pour cent des généralistes ne saisissent pas la différence entre ces deux mots. C'est trop abstrait pour eux. C'est comme indépendance et autonomie, ça ne concerne que les sous-fifre, les psychiatres et les ergos, alors ils vont quand même pas se pencher sur leur dictionnaire pour les beaux yeux de gens qui ne savent même pas ce qu'est la médecine.
Pour dériger à la régle, je ne vous souhaite pas une nuit angoissé. Je sens que le clavier va encore chauffé alors à plus tard. Et arréter de vous ronger les ongles, qu'est ce que vous allez faire demain? Vous mangez les doigts?
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