23 février 2005
Lundi, le thon nous a manqué
Petite histoire en directe du RU. Aline a apporter un tuperware de pate
et une boite de miettes de thon. C'est sympa et économique comme repas.
Seulement, elle s'est apperçue qu'il n'y avait pas d'ouverture rapide
sur sa boite. Elle aurait pas pu vérifier en l'achetant, nan ça aurait
été trop compliquer. Souvenez vous que nous ne sommes que des
étudiantes en ergothérapie. Bref, elle n'avait pas d'ouvre boite et
donc pas de repas. Mais comme elle tennait vraiment à son thon, elle a
commencer par faire le tour de toutes les restaurants, les cafétariats
et les self de l'hôpital et de la fac. Elle y a mis une bonne demi
heure, c'est que c'est grand la fac plus l'hôpital. Et à chaque fois,
elle a obtenu la même réponse ou presque. "C'est pas une cuisine ici.
On n'a pas d'ouvre boite." Elle est donc revenue toute penaude mais pas
découragé pour autant. Inutile de préciser que quand elle est revenue,
tout le monde avait finni de manger mais par solidarité, on était
rester à l'attendre. Elle as fait le tour de toute les tables du RU
avec sa boite en demandant si quelqu'un avait un couteau suisse pour
ouvrir sa boite. Hilarité générale garantie. C'est malheureusement tout
ce qu'elle a obtenue. Elle est revenue à sa place, a pris sa fourchette
et son couteau et à entrepris de percer la boite au mépris de toutes
les règles élémentaires de sécurité. Après dix minutes d'effort et au
pris d'un grand coups de fourchette, elle a réussi à percer quatre
petit trrou par lequel le jus du thon sortait. Elle en était toute
folle. Ensuite le problème a été d'aggrandir les dits trou. La
fourchette y a perdu une dent et deux couteaux sont malheureusement
décédé dans l'opération. Encore une erreur médicale due au stress. Elle
a finnit par obtenir un trous d'à peu près tois centimètre carrré par
lequel un couteau et deux milligrammes de thon passait. Elle a donc
entrepris de vider la boite ainsi. Et la bien que perturbé par le rire,
nous lui avons signaler qu'heureusement qu'on avait deux heures pour
manger et qu'on devaient réviser parce qu'on en était déjà à une heure
et demi. "M'en fout des révisions. Je veux manger." a-t-elle lancer, le
nez dans ces pattes en train de se battre pour vider sa boite de
conserve. Faut quand même préciser qu'il doit y avoir facilement sept
points différents d'approvisionnement en sandwich plus un RU avec des
plats chauds (mais personne n'y va pour cause de démarche qualité
alimentaire) et que n'importe laquelle d'entre nous lui aurions préter
les 265 nécessaire à l'achat d'un repas quel qu'il soit. Enfin bon,
elle était la seule dans tous le RU à ne pas rigoler mais elle a finnit
par vider entièrement sa boite de thon. Exploit que je ne vous conseil
pas de tenter si vous tenez un tant soit peu à vos doigts. Enfin, elle
a bien mùanegr mais si il ne lui restait plus que dix minutes et nos
zygomatiques ont fait leurs exercices quotidien. Ce fut une belle
journée.
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C